MES HOMMES
Je respire comme je vis ma vie
D’un regard d’un sourire merci
J’aime autant qu’emporte le vent
Sans argent mais comptant.
Et même quand on devient des grands
Quand on oubli de temps en temps
Que l’amour n’ai jamais un leurre
C’est qu’il n’y a plus d’heure.
Ils me font peur, les hommes
Ont-ils un cœur, mes hommes
Et quand ils pleurent, ces hommes
Ils sont des hommes.
Je te vois comme on voit sa voie
Comme un tout où il n’y a que toi
Surtout quand je ferme les yeux
Un soleil à nous deux.
Dans la tempête de mon être
Tu as ouvert cette fenêtre
Qui m’emmène toucher le ciel
Dans un battement d’ailes.
Je n’ai plus peur, mon homme
Ils ont un cœur, les hommes
Et quand ils pleurent, ces hommes
Ils sont des hommes.
Je respire comme je vis ma vie
D’un regard d’un sourire merci
J’aime autant qu’emporte le vent
Sans argent mais comptant.
Et même quand on devient des grands
Quand on oubli de temps en temps
Que l’amour n’ai jamais un leurre
C’est qu’il n’y a plus d’heure.
Ils me font peur, les hommes
Ont-ils un cœur, mes hommes
Et quand ils pleurent, ces hommes
Ils sont des hommes.
Je te vois comme on voit sa voie
Comme un tout où il n’y a que toi
Surtout quand je ferme les yeux
Un soleil à nous deux.
Dans la tempête de mon être
Tu as ouvert cette fenêtre
Qui m’emmène toucher le ciel
Dans un battement d’ailes.
Je n’ai plus peur, mon homme
Ils ont un cœur, les hommes
Et quand ils pleurent, ces hommes
Ils sont des hommes.