Une vague infinie qui ne finit jamais sa course.
Des chevaux débridés à fière allure, crinières au vent.
La maison de ses rêves revue des centaines de fois.
Des paysages plus vrais que nature et pourtant toujours plus féériques.
Toutes les couleurs représentées alors que les plus belles restent encore à découvrir.
La beauté à l’état pur assise à la table de l’atrocité dans son inconcevable.
Le prévisible qui surprend ; l’imprévisible qui rassure.
Une multitude de visages telle la palette de l’arc en ciel.
Une plage nue, la radio qui chante dans la voiture, un débarras un dimanche matin tôt.
Le temps qui s’arrête pour se brancher sur une longueur d’onde intemporelle.
Jamais d’unanimité.
Un homme qui inspire le respect et soupire de plaisir.
Son fidèle compagnon le chien.
Des questions cherchant des réponses qui n’existent pas.
Des réponses qui engendrent les questions qu’on n'osait pas se poser.
Un goût amer laissé sur le bord de l’autoroute.
Un ragout au chocolat.
La peur en chair et en os.
Une tempête de haine et de colère.
Le calme d’après.
Les jumelles : Mesdemoiselles Larmes de Joie et Larmes de Tristesse.
Le bonheur.
Les sauts d’humeur sauvés par l’humour.
L’humilité.
Le monde à ses pieds vu du haut de la montagne.
La pêche aux émotions enfouies profond dans le grand Bleu.
Des papilles gustatives réveillées après un long jeûne.
La traversée du désert rassasié.
Une bouche assoiffée de pouvoir où coule le vin sans jamais l’enivrer.
Les mêmes maux dans des langues différentes.
Des kilomètres d’entrepôts pour engranger un brin de paille.
Les joyaux les plus précieux à portée de main.
La complexité déposée dans un écrin rouge.
Un couloir où des portes s’ouvrent et se ferment au même instant.
La vie.
L’Amour.
Un papillon volant sans fin.
Le ciel, cocon grandeur nature.
L’homme dans sa solitude.
La foule de choix.
Le point final.
Une incroyable liberté.